"Adonis s'écoute avec délices. Partout où il passe, le soleil brille. Dans ses yeux, dans sa voix, dans ses mots... Vous pourrez vous en apercevoir vous-mêmes." TRIBUNE HEBDOPour Adonis, tout commence vraiment à l’âge de 13 ans, quand son père, désespéré de le voir traîner avec un groupe de Rap à Cotonou, le fait asseoir et écouter religieusement “Rosie” (Francis Cabrel, Sarbacane, 1989). “Voilà de la bonne musique” lui disait-il. Après un premier disque en 2007 dont le succès médiatique inattendu le précipite sur les scènes du Bénin, Adonis rêve déjà plus loin. En 2011, il débarque à Paris. La galère, une première signature qui échoue, un café musical à Orléans, puis un deuxième album en 2021, le conduiront à deux belles rencontres : Esthen Dehut et Aurélie Cabrel des Studios Baboo Music.

Avec Esthen à la réalisation, et Aurélie aux Editions, l'histoire de son Bar Occidental s’écrit, ironie de la vie, à Astaffort, sur les terres même de Francis Cabrel. De quoi rassurer son père dans sa tombe. “De la bonne musique !” disait-il !

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